Córdoba
Il faut que je vous
raconte mon week-end à Córdoba !
Bon, alors là je suis
bien embêtée parce que je n’ai pas encore parlé de cette ville, alors que j’y
suis allée trois fois ! Le fait est que les deux premières fois ne m’en
ont pas laissé un souvenir extraordinaire et que par conséquent, je n’ai pas
pris la peine/le temps de raconter tout ça. Peut-être que si le cœur m’en dit,
je raconterai ça à la suite, mais étant donné que mon stage touche à sa fin et
que j’ai encore un autre article à préparer, ça m’étonnerait…
Commençons pas le
commencement : quasiment dès le début de mon stage Diego, un collègue du
boulot, m’avait dit qu’ils prévoyaient un week-end fin juillet à Córdoba avec
sa copine/femme (en fait je sais pas s’ils sont mariés ou pas, donc je
l’appellerai par son prénom, même si je ne suis pas sûre que ce soit le
bon : Eugenia). J’avais bien sûr accepté l’invitation.
Après m’en avoir reparlé
dans la semaine, il m’a annoncé que je devais réserver une place où dormir,
parce que là où ils allaient, ils n’avaient pas de place pour moi. Pas grave,
j’avais des adresses d’auberges ! Mon seul problème est que je n’avais pas
le modem le soir, il a donc fallu que je réserve depuis le boulot… Et cette
fois-ci, j’ai changé d’auberge pour une qui me semblait plus sympa que celle où
j’étais allée les deux fois précédentes.
Petite
explication : lors de mon premier week-end à Cordoba, j’avais atterris au
Baluch backpackers, que j’avais trouvé sur Hostelworld.com et qui m’avait paru
sympa… Sauf qu’en fait, je n’avais pas du tout aimé, parce que la plupart des
gens parlaient anglais et que pour moi, c’était impossible de communiquer car
habituée à parler espagnol… En plus, c’était hyper bruyant et j’avais très mal
dormi bref, je m’étais dit que je n’y reviendrais pas. Et pourtant, la deuxième
fois que je suis allée à Cordoba, je me suis retrouvée là-bas quand même et
rebelote : trop d’anglais, c’était le bordel jusqu’à tard dans la nuit
enfin bref, pas aimé… Mais je n’avais pas eu le choix, n’ayant pas pu réserver
(départ plus ou moins sur un coup de tête), j’avais tourné pendant plus d’une
heure dans Cordoba et toutes les auberges où j’allais étaient pleines, donc en
dernier recours j’y suis retournée et j’ai eu un coup de chance car il ne
restait qu’une place…
Bref, revenons-en au
week-end Cordobés n°3 : cette auberge (Backpackers International), j’y
avais cherché une place lors du week-end n°2, mais on m’avait répondu qu’il n’y
avait plus de place, puis finalement que si, puis en fait non, puis re-si et en
fait… Ah ben non. Mais j’avais été déçue de ne pas pouvoir y rester, d’autant
plus qu’ils organisent un asado tous
les week-ends, ce qui m’aurait permis de rencontrer des gens. Bon, donc j’ai
réservé là, pour 2 nuits. Maintenant passons au récit du week-end.
Vendredi 30 Juillet :
Comme tous les
vendredis, je quitte à 16h.
Diego m’avait prévenue
qu’ils passeraient me chercher vers 17h. J’appréhendais un peu le
week-end : on n’a jamais trop discuté, et j’avoue que j’avais peur de ne
pas savoir quoi dire pendant 2 jours avec eux…
17h (qu’ils sont
ponctuels, ces Argentins !), nous voilà partis. En bus, le trajet dure 3h,
mais je me dis qu’en voiture, ça ira sûrement plus vite ! Au final, non…
La circulation est plutôt importante le vendredi soir, et il y a beaucoup de
camions sur la route : nous avons donc mis 3h malgré tout. Le trajet a été
un peu long : en voiture, pas de film et même si on a un peu discuté, 3h
restent 3h… Enfin j’ai appris que Eugenia allait en fait à Cordoba parce
qu’elle avait un exam le lendemain matin, leur système d’études est un peu
spécial ici, j’ai pas trop compris mais bon. Elle est kiné, mais veut faire
ostéopathe et pour être ostéo, faut d’abord faire 5 ans d’étude de kiné (et
avoir le diplôme), puis ensuite enchainer sur 3 ans d’ostéo… C’est long, c’est
long !
On est arrivé vers 20h.
Petit passage par un bureau d’info touristiques sur la place San Martin mais
c’était fermé : tant pis ! Ils m’ont ensuite déposée à l’auberge et
m’avaient prévenue qu’ils ne faisaient rien le soir à cause de l’exam du
lendemain.
A l’AJ, je suis allée
déposée mes affaires dans la chambre (4 lits, sdb privée : c’était sympa,
surtout pour 32 pesos/environ 6,50€ !), puis la fille qui était sur le lit
en dessous du mien est entrée et à commencé à me parler en anglais. Après avoir
essayé en vain de sortir une phrase totalement en anglais, voilà qu’elle me
sort « t’es française ? » Ouiiiii !!!! Quel bonheur, pas
besoin de faire surchauffer mon cerveau pour que l’anglais domine l’espagnol…
On a donc discuté un peu, elle m’a raconté qu’elle venait du Var et qu’elle
vivait à Londres depuis un an où elle bossait dans un bar, étant partie à la
base pour un stage de 3 mois et n’ayant jamais eu le cœur de revenir, et
qu’elle envisageait même de trouver un boulot dans sa branche et de s’y
installer…
Puis une fois qu’elle
est ressortie, c’est une Allemande qui est arrivée, elle était avec son
copain/mari, j’en sais trop rien. On a un peu discuté, en espagnol cette fois,
(d’ailleurs son copain parlait un peu français) et elle m’a expliqué qu’elle
bossait au Chili, où elle était arrivée 5 mois auparavant et que là, ses
vacances de 3 semaines touchaient à leur fin… Enfin sa prononciation m’a un peu
choquée, pour quelqu’un qui était là depuis 5 mois, c’était un peu limite, on
aurait dit qu’elle ne faisait pas d’effort !
Puis vers 21h, j’ai décidé
qu’il était peut-être temps que j’aille manger… A la base j’avais prévu
d’acheter des trucs en supermarché et de me faire la popote à l’AJ (la cuisine
c’est pas mal pour rencontrer des gens), mais il se trouve qu’après avoir
tourné un certain temps dans le Disco (chaine de super), y avait rien qui me
tentait : je me suis donc résolue à trouver un resto, mais je n’avais pas
envie de mettre trop cher, et je me suis finalement retrouvée bredouille…
Retour au Disco, où j’ai finalement acheté 2-3 trucs et puis surtout UN YAOURT,
chose que je n’avais pas mangé depuis plus de 2 mois ! :’)
Avec tout ça, je suis
revenue quasiment à 22h… Je me suis donc fait ma petite bouffe, en discutant un
peu avec un gars de Buenos Aires qui m’a dit qu’il était avec 2 autres personnes,
mais que j’ai toujours vu seul par la suite, bizarre… Bref
Je suis ensuite
descendue dans le « living », parce que j’avais pas envie de rester
toute seule, et je me suis incrustée dans un petit groupe qui était déjà
entrain de manger pizza et empanadas :
je faisais un peu tache à côté avec mes petits pois/tomate/saucisse, mais tant
pis, hihihi !
Présentations :
Isaïas, un Argentin qui était la depuis trois semaines, après avoir tout largué
de sa vie dans le sud pour entamer une nouvelle vie à Córdoba ; Marcelo,
de Buenos Aires ; Catalina et Sandra, deux Colombiennes au caractère
visiblement bien trempé ! On a passé une petite soirée sympa autour de
quelques verres de bière/vin, et à jouer au UNO ! Ils prévoyaient d’aller
en boîte par la suite (départ à 1h30) et m’ont proposé de venir, mais je ne
savais pas trop si j’en avais envie, surtout si tard... Je me suis posée dans
le canap’ avec d’autres personnes dont Romina, une Argentine ; Marie-Eve,
une Québécoise avec qui je parlais malgré tout en espagnol et Daniel, un
Brésilien (mais pas le même qu’à Mendoza !). On a regardé « Pour le
pire et pour le meilleur », qui repassait d’ailleurs le lendemain (oui, la
télé argentine est très variée !) tout en papotant plus ou moins.
Finalement, je ne suis
pas allée en boîte et suis restée avec Daniel et Marie-Eve jusqu’à la fin du
film, puis on est allé se coucher.
Samedi 31 Juillet :
Réveil vers 10h (bon, en
fait, je m’en souviens plus, mais en même temps on s’en fout un peu). Je prends
ma douche, puis vais prendre mon petit dej’. En fait, le week-end, il n’est pas
compris dans le prix de la chambre et 2,50 pesos pour le jus de chaussette qui
faisait office de café, j’ai trouvé que c’était un peu cher payé, hihihi !
Bref, petit dej’ sur la terrasse de l’AJ, au soleil, au calme et avec une
chouette vue sur l’église je sais plus quoi : comme un air de vacances…
Diego m’avait dit qu’il
m’appellerait sûrement dans la matinée pour savoir ce qu’on ferait, au final il
ne l’a pas fait. Je suis partie vers 11h40, puis comme je ne savais pas quoi
faire, je me suis dirigée vers la Manzana Jesuitica en me disant que peut-être
je pourrais visiter. Comme il était quasiment midi quand je suis arrivée et que
ça fermait à 13h, j’ai abandonné l’idée, étant donné que c’est assez grand et
que je n’avais pas envie de courir pour tout voir. Je me suis donc baladée un
peu. Entre temps, Diego m’avait envoyé un message en me disant qu’il allait
bientôt m’appeler, donc j’ai continué mon petit tour, et quand il m’a appelée
pour savoir où j’étais, ben j’avais pas énormément bougé en fait ^^’ Et comme
il m’a dit qu’on se rejoignait là où j’étais, j’ai poireauté en attendant
qu’ils arrivent. Enfin bref, quelques petites photos quand même, paske vous
n’avez pas encore vu ce que donnait Cordoba !
Une fois qu’ils m’ont
rejointe, on est allé dans un office de tourisme histoire de voir quoi faire,
sauf que le week-end à Córdoba, y a rien à faire et tout est fermé (tiens donc,
c’est ptetre pour ça que j’aime pas cette ville !), puis on est retourné
dans le Colegio Jesuitico, même si je leur avais dit que c’était pas la peine
paske ça fermait à 13h, m’enfin…
Ensuite, on s’est baladé
dans les rues piétonnes. Etant donné que les 2 premières fois j’y étais allée
un dimanche et qu’il y avait 3 pelés et un tondu, ça m’a fait un choc de voir
autant de monde ! Bon alors là, je me suis fait chier. Il se trouve
qu’Eugenia était visiblement là pour faire du shopping et moi bah… J’aime pas
ça !
Les deux premières fois
que j’étais venue, on m’avait bien avisée de faire attention à mon sac à dos,
parce qu’on peut très bien se le faire piquer en coupant les lanières… Etant
donné qu’il ne m’était jamais rien arrivé, je me baladais confiante, mais il se
trouve qu’alors que je marchais (assez rapidement en plus), j’ai senti qu’on
touchait à mon sac. J’ai d’abord cru à une bousculade, mais quand j’ai voulu
vérifier un peu plus loin, il se trouve que la petit pochette de devant était
ouverte… Bon, je suis pas folle, quand même, je n’ai jamais rien laissé de
valeur dans mon sac, j’avais toujours tout sur moi, mais quand même !
Enfin bref, Diego et
Eugenia ont alors rencontré des copains, moi j’ai continué à tourner, mais
fallait pas que je les perde, donc je restais pas trop loin malgré tout. Finalement,
quand ils ont eu fini de discuter, ils m’ont annoncé qu’ils allaient aller
manger et qu’après ils iraient faire du shopping, et m’ont donc demandé ce que
je comptais faire : ouais, alors le shopping, merci, je pense que j’en ai
eu assez ! Je leur ai donc dit que j’allais aller me balader, paske ça ne
m’intéressait pas. Je suis donc partie seule de mon côté, et la première chose
que j’ai faite était de chercher à manger.
Je me suis posée dans un
bar/resto où j’ai pas mal attendu, mais étant donné qu’il n’y a rien à faire le
samedi, ça m’a fait passer le temps… J’ai dégusté un lomito (comme un hamburger mais bien meilleur, et avec du vrai
steak, pas haché/congelé !) accompagné de pápas fritas, miam !
Je suis sortie de là
vers 14h30-15h. Ne sachant trop que faire, je me suis dirigée vers le Parque
Sarmiento, que je pensais avoir vu la première fois que j’étais venue, mais
qu’en fait non. Petit passage devant le Paseo Buen Pastor, bien plus joli quand
il est éclairé par soleil et animé avec tout plein de gens que quand il fait
tout gris sans personne, et devant la Iglesia de los Capuchinos…
Je suis retournée dans
l’église, que j’avais déjà visitée la première fois, mais où l’on voit un peu
mieux quand il fait beau dehors !
Puis je suis allée vers
le parc. Et là, j’ai pas compris, y avait une scène énorme avec tout plein de
gens attroupés et un concert de je sais pas quoi… Bon, je suis pas restée, j’ai
continué mon chemin.
Au départ, je suis pas
partie dans le bon sens, donc je trouvais pas le parc. Je voulais rentrer parce
que j’en avais plein les bottes, mais je me suis dit que c’était dommage quand
même de ne pas le voir, sachant que c’était ma dernière virée à Córdoba. J’ai
donc marché encore un peu, et fini par trouver ce que je voulais voir !
Puis, commençant à avoir
froid, je suis revenue sur mes pas et sur la grande scène, il se trouve qu’il y
avait un défilé de mode : je suis donc restée regarder des chouettes robes
qui auraient très certainement fait effet le jour de la Remise des Diplômes (le
prix aussi d’ailleurs, aurait fait effet…), même si j’étais un peu loin pour en
profiter vraiment.
Puis une fois fini, j’ai
voulu chercher un café, parce que j’en pouvais plus et que Diego m’avait
appelée entre temps pour me dire qu’on se retrouvait à 19h devant le Paseo Buen
Pastor, or il était 18h et j’étais à 2 pas du lieu-dit : je n’allais donc
pas retourner au centre-ville pour faire demi-tour après… J’ai donc dû marcher
encore quelques peu, étant donné que les seuls café que je trouvais étaient
bondés. Puis j’ai fini par tomber par hasard sur un truc sympa, appelée par la
musique de Manu Chao qui passait à l’intérieur… J’ai donc commandé un submarino (on m’avait dit que c’était le
chocolat chaud local, mais en fait j’aurais mieux fait de m’abstenir :
c’était… Particulier !)
En fait, je suis restée
longtemps dedans, paske le service était assez long, j’ai même eu peur d’être à
la bourre, mais finalement ça a été.
Je suis arrivée un peu
plus tôt au Paseo Buen Pastor et par le plus grand des hasards, il se trouve
qu’un spectacle de jets d’eau a commencé quelques minutes après que je sois
arrivée, et j’ai eu la bonne surprise d’entendre (en plein milieu de Córdoba, rappelez-vous)
un morceau de Yann Tiersen !!!
Bon, la suite je vais
essayer de faire court (avant de raconter la soirée), paske ça commence à
s’éterniser un peu et j’en ai marre d’écrire !
Donc, on a fini par se
retrouver avec Diego et sa femme, puis on est allé au Paseo de los Artes, où
l’on a retrouvé un couple d’amis à eux. On est allé boire un coup dans un
endroit où la musique était trop forte pour que je puisse participer à la
conversation, puis on s’est vite fait baladé le long du Paseo, sorte de brocante
mais qui est apparemment tous les jours (ou au moins tous les week-ends).
Puis Diego et Eugenia
m’ont dit qu’ils retrouvaient des amis pour aller manger, mais je préférais
retourner à l’auberge, paske je pensais que j’allais bien plus m’amuser qu’à rester
avec des gens qui discutent entre eux et dont je comprends la moitié de la
conversation.
J’ai encore pas mal
crapahuté, raccompagnée par le couple d’amis qui était avec nous. Arrivée à
l’auberge, je suis ressortie pour m’acheter à manger, me suis fait la popote et
ai retrouvé les personnes avec qui j’avais passé la soirée la veille. Soirée en
boîte à nouveau prévue, cette fois, je suis bien tentée d’y aller ! Départ
prévu à la même heure : 1h30.
En attendant, comme la
veille, on s’est posé dans le canap’, à regarder « Diario de
motocicleta », un film sur le voyage en moto du Che à travers l’Amérique
du Sud, et à discuter. Vers 1h, je me sentais fatiguée, mais Marie-Eve m’a
convaincue de venir malgré tout, arguant que c’était ma dernière soirée à Córdoba…
Ce qui n’était pas faux ! Donc j’ai craqué, et j’y suis allée. Et je n’ai
pas regretté !
Je sais plus, Catalina, Alejandro, Romina, Walter, je sais pas, moi, Sandra et Marie-Eve
Nous voilà donc
partis : Colombien(ne)s, Argentin(e)s, Québécoise et Française, direction
le Zen, une boîte… Gay !
Enfin bref, on a passé
une super soirée, arrosée d’alcools locaux, mais c’était vraiment sympa !
J’ai pu parler un peu français avec Marie-Eve, ce qui est assez pratique en
boîte avec le bruit, même si j’avais du mal à la comprendre vu son accent, et
que j’avais des réflexes de réponse en espagnol ! Une chose qui m’a
choquée, c’est qu’elle m’a dit qu’elle avait fait Mexique, Guatemala etc, mais
que c’est en Argentine qu’elle avait le plus ressenti le choc des cultures…
Euh… Ah bon ? Il s’agit pourtant du pays le plus « européanisé »
d’Amérique du Sud !
Enfin bref, la boîte
fermant à 5h du mat’, je me suis retrouvée à attendre un taxi avec Alejandro,
un Colombien, en t-shirt, pendant au moins ¼ d’heure (y avait tout plein de
taxis vides qui s’arrêtaient pas !), alors qu’il faisait 3°C dehors… On a
fini par arriver à l’AJ, où j’ai eu bien du mal à monter dans mon lit
(superposé, lit du haut… J’ai pas choisi !), et d’où j’ai fait tomber mon
portable, ce qui implique d’en redescendre et d’y remonter…
C’était génial mine de
rien, j’ai dû m’endormir vers 6h (voire plus), mais j’ai passé une pure
soirée !
Dimanche 1er Août :
Réveillée à 10h,
impossible de me rendormir… La nuit fut courte ! Je suis restée un peu à
comater dans le lit, puis me suis décidée à me lever. Autant dire que je n’ai
pas été très efficace de la journée !
Après une douche et un
petit dej’ pris à quasiment midi, je suis restée avec mes compagnons de la
veille, puis ai dit au revoir à la plupart d’entre eux qui partaient le
jour-même également…
Je suis finalement
partie vers 12h30-13h et suis passée au Disco pour m’acheter un paquet de
gâteaux histoire d’avoir quelque chose à grignoter dans la voiture si j’avais
faim.
Diego m’a appelée vers
13h pour me dire qu’on se retrouvait 1/2h plus tard près du Paseo Buen
Pastor : je m’y suis donc rendue en prenant mon temps, puis on est
retourné vers San Francisco.
J’ai essayé de dormir
dans la voiture, mais en vain ! Le voyage a été un peu moins long, mais
comme on s’est arrêté un certain temps pour prendre de l’essence, je suis
arrivée chez Pochocha à 16h30.
Comme elle dormait, j’ai
fait pareil : je suis allée me coucher !
En bref, c’était assez
intense et fatiguant, mais j’ai passé un super week-end ! Il aura
finalement fallu attendre ma troisième virée dans la cité Cordobesa pour enfin
l’apprécier à sa juste valeur…